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Mon nom est 
MELISSA MARS
Mars, comme la planète d'où je viens peut-être...

Qui suis-je?

(Ci-dessous ma bio à la 3ème personne...)

C’est l’histoire d’une fille… Son nom est Melissa Mars… Mars, comme la planète d’où elle vient… peut-être.

 

Actrice et chanteuse dans la lumière, auteure-compositrice, scénariste, photographe et réalisatrice dans l’ombre, Melissa Mars fait partie de ces artistes multi-facettes, passionnée, sans complexe, parlant plusieurs langues, hyperactive, multi-récompensée… elle suit le vent de son inspiration…

Musicalement, révélée en 2003 par son single œdipien "Papa m'aime pas", elle enchaine avec trois albums solo à l'univers pop acidulé (Polydor-Universal), des duos avec de grands artistes de la scène française, Louis Bertignac, Lara Fabian… Son duo avec Pascal Obispo, “1980” se classe N°5 au top. Elle est à l’affiche du spectacle musical Mozart L'Opéra Rock, qui triomphe avec plus d'1 500 000 spectateurs.

Au cinéma, elle se fait remarquer dans From Paris With Love aux côtés de John Travolta, et apparaît dans des films américains aux côtés de Vinnie Jones, Vivica A. Fox, Tom Sizemore, ou Haylie Duff… Elle reçoit plusieurs prix d’interprétation avec des critiques élogieuses  « sincère, spectaculaire et vulnérable », elle signe également des projets qu’elle écrit et réalise, dont le récent court métrage dystopique The Last Touch, multi-récompensé dans le circuit des festivals...

Chanteuse par magie...

 

Elle ouvre les yeux sur le soleil de Marseille et sur sa Maman. Son papa, elle le découvre plus tard, très peu, très mal… Elle commence dès son adolescence à écrire, filmer, jouer du piano sur un clavier à deux octaves… et fait ses premiers pas d’actrice à 13 ans sur la scène du Chocolat théâtre de Marseille. Elle prend la route de la capitale avec sa maman à l’âge de 16 ans.

 

Elle dévore Anouilh, Sartre, Cocteau, Miller, T. Williams, Mamet... Elle se rêve l’Héroïne des films de Tarantino, Jeunet, Besson, Tim Burton… Alors qu’elle vient d’obtenir son Bac scientifique mention bien à Louis-le-Grand, elle abandonne la route toute tracée des études de Mathsup, et bifurque vers le chemin plus complexe de sa passion : le cinéma. Pièces de théâtre, castings, petits rôles dont le long métrage Un Aller Simple aux côtés de Jacques Villeret et Lorànt Deutsch. Mais pas encore LE grand rôle. Jusqu’au jour où… Le destin frappe à sa porte avec un dîner avec le réalisateur André Téchiné (qui avait lancé les carrières de Juliette Binoche, Elodie Bouchez…). Hélas, ils ne se disent pas grand chose. C’est François Bernheim, un compositeur (P. Kaas, Renaud…) qui arrive sur les coups de minuit et lui ouvre une voie inattendue :

"Vous chantez mademoiselle ?" lui dit-il.

Ce soir-là, le destin a décidé : Elle voulait faire actrice, elle fera chanteuse.

Plutôt que d’enfer une maladie, elle en fée une mélodie…

 

Elle tâtonne, explore cette voie inconnue…jusqu’au déclic : 3 mots qu’elle trimballe depuis sa petite enfance font pa pa pa dans sa tête et inspirent le titre de sa première chanson: "Papa m'aime pas". Tout prend un sens alors : plutôt que d’enfer une maladie, elle en fée une mélodie… ses premiers pas’ dans la chanson et un premier album électro-pop acidulé "Et Alors !" sorti en 2003. 

En 2005 sort "La Reine des Abeilles", un deuxième album au ton plus révolté, qu’elle réalise avec le clan à Langolff, compositeur de "Joe le Taxi", "Morgane de toi"…, un bohême hippie n’ happy, qui encourage Melissa à composer ses premières mélodies :  "And I hate you", "Be careful Man", "La Reine des Abeilles". Elle raconte son histoire comme un film qu’elle déroule au fil des chansons et de premiers concerts qui l’imposent dans le paysage musical avec son monde et ses personnages oniriques qui « évoquent certains personnages des films de Tim Burton... » ~ Le Monde

« Chapeau haut de forme et grand manteau noir, elle fait irrésistiblement penser au capitaine Achab de Moby Dick, en fille » ~ Le Parisien  

 

Lara Fabian la remarque et l’invite pour un duo sur son album Neuf. Puis elle prend la relève de Carla Bruni dans "Les Frôleuses" avec Louis Bertignac. Pascal Obispo est séduit lui aussi par son univers pop féerique... Rencontre inattendue de deux personnages à l’opposé l’un de l’autre… en  apparence… mais tous deux rêveurs d’un monde meilleur, ils s’embarquent dans un rubixcube et remontent le temps jusqu’en "1980"  dans leur hit pop new wave.

2007… C’est l’histoire d’une fille… "A la Recherche de l’Amour Perdu"…son troisième opus clôture la série de 3 albums, une trilogie de contes, la quête initiatique d’une jeune fille en mal d’aimer… une quête dans laquelle elle voyage dans une "Love Machine", single dont elle réalise elle-même le clip, et qui va la déposer sur la scène de la Cigale...

Elle poursuit son parcours des deux côtés de la lumière, collabore et co-réalise un premier court-métrage Chaperon Noir ainsi que le film d’animation Army of Love. Elle entreprend un voyage en Chine et photographie une série de portraits d’enfants des rues pour promouvoir le droit des enfants au travers d’une exposition au coeur de Paris, mentionnée dans Metro et Elle magazine

Des deux côtés de la lumière…

 

Puis elle se retrouve à l’affiche du spectacle musical Mozart L'Opéra Rock mis en scène par Olivier Dahan, réalisateur du film multi-récompensé La Môme. Le musical triomphe pendant deux années en 350 représentations, devant plus d'1,500,000 spectateurs, recevant 3 NRJ Music Awards ainsi qu’un disque de diamant, et se prolonge par une tournée internationale avec la troupe accompagnée par un orchestre de près d’une centaines de musiciens pour une série de concerts symphoniques en France, Belgique, Suisse, Tunisie, Russie et Ukraine.

 

Melissa Mars parcourt le monde également en actrice. La route du cinéma l’embarque sur des plateaux de tournage en Algérie pour la série Khamsa, à Erbil au Kurdistan, malgré le climat de guerre, pour tourner dans le premier film international Irakien : Curse of Mesopotamia, parce que, dit-elle, « la musique, le cinéma… l'art n’ont ni frontière ni religion. ». Portée par sa passion, elle jette son ancre aux USA à la poursuite de son rêve américain. 

La musique, le cinéma… l'art n’ont ni frontière ni religion.

 

Depuis, elle gravite entre musique et cinéma, entre Los Angeles et New York où elle s’est installée. Elle enchaine les films et les genres: horreur The Cabining, zombies Texas Zombie Wars, comédie Puzzled, thriller Deadly Delusion, drame Polly, science fiction Virtual Revolution, dans lequel elle est archère (méconnaissable avec ses tresses africaines) dans un monde virtuel, plongée dans un univers cyberpunk en Europe en 2047; le film a reçu plus de 50 prix dans des festivals américains et internationaux… 

Elle écrit actuellement un pilote basé sur son dernier court métrage dystopique multi-primé, The Last Touch, et développe son nouveau scénario, pour lequel elle a reçu le prix du meilleur scénario, My Ancestors’ Song, une histoire qui la replonge dans ses lointaines racines au coeur du désert Algérien. 

 

C’est l’histoire d’une fille… à suivre...

(Suite)

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